Dans des combats violents à Komondjari, plus d’une centaine de terroristes ont été abattus par les Forces combattantes dans la zone de Gayérie. Selon des sources sécuritaires, ces dernières ont également saisi une importante logistique de guerre.

Le lundi 25 mars 2024, les services de renseignement ont été informés de l’arrivée massive d’une horde de terroristes au Nord de Gayérie, plus précisément dans la localité de Kiani. En réponse, le 20e Bataillon d’intervention rapide a décidé d’aller à leur rencontre pour les empêcher de mener leur attaque. Sous la supervision des vecteurs aériens, les soldats ont avancé sereinement tôt le matin du 26 mars 2024.

Avant d’atteindre la zone de contact, un calme apparent régnait dans les hameaux de culture. Cependant, à leur approche, les soldats ont été accueillis par des tirs nourris provenant de criminels embusqués dans les bâtiments. Les Forces combattantes sont restées concentrées et ont riposté rapidement. Après plusieurs manœuvres, de nombreux terroristes ont été débusqués et neutralisés efficacement. Malgré les tentatives de fuite des rescapés à pied, ces derniers n’ont pas pu échapper aux vecteurs aériens.

Un bilan préliminaire fait état de plus d’une centaine de terroristes abattus lors des affrontements, ainsi que la récupération de plus de soixante motos, la destruction d’autres, une cinquantaine de fusils d’assaut AK-47, une dizaine de mitrailleuses PKMS, des lance-roquettes RPG-7, des milliers de munitions et environ soixante tonnes de vivres.

En plus des opérations à l’Est, les Forces combattantes ont remporté d’autres victoires sur différents fronts. Au Centre-nord, elles ont mené avec succès un assaut contre une base terroriste au Nord de Kelbo, neutralisant plusieurs terroristes et récupérant du matériel.

Plus au Nord de Nassoumbou, les vecteurs aériens ont effectué des frappes réussies sur un véhicule blindé et des armes soigneusement dissimulées sous des arbres. Selon les informations obtenues, les opérations se poursuivent sur tous les fronts en vue de reconquérir l’intégrité territoriale et rétablir la paix.

La rédaction


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