En réaction à un article de l’agence de presse Associated Press (AP) publié le 22 mars 2024, intitulé «Les forces de sécurité burkinabè tuent de plus en plus de civils», le gouvernement burkinabè a réfuté les allégations portées contre les forces de défense et de sécurité (FDS). Le gouvernement a publié un communiqué daté du 24 mars 2024 pour dénoncer les accusations de l’AP.

Dans cet article, AP a relayé les témoignages de prétendus survivants d’un massacre à Zaongo, accusant les forces de sécurité burkinabè d’être responsables de ces actes violents. Le gouvernement a qualifié ces allégations de «tendancieuses et malveillantes» et a annoncé l’ouverture d’une enquête impartiale et transparente sous la supervision du Procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Kaya pour établir les faits.

Affirmant son engagement envers la justice et la vérité, le gouvernement a rejeté toute idée selon laquelle les FDS pourraient être impliquées dans de tels actes. Il a critiqué l’AP pour baser ses conclusions sur des explications simplistes et pour participer activement à une campagne médiatique contre le Burkina Faso sous couvert de journalisme.

Le gouvernement a appelé la population à avoir confiance en la justice et à ne pas se laisser influencer par des actions visant à perturber la cohésion entre les FDS, les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP) et la Nation.

La rédaction


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