L’association Yerelon + mobilise les leaders communautaires pour la prévention et la prise en charge des cas de VBG
Ouagadougou – Le jeudi 8 février 2024, l’association Yerelon + a tenu une rencontre avec les leaders communautaires dans le but de renforcer la prévention et la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG). L’événement, qui s’est tenu dans la capitale burkinabè, avait pour objectif d’outiller les participants afin qu’ils puissent apporter leur aide aux victimes de VBG en leur fournissant des informations sur les mesures de défense et en les orientant vers les ressources nécessaires pour obtenir justice.
L’association Yerelon + a présenté aux participants des informations essentielles sur les stratégies de prévention des VBG et les mesures à prendre pour protéger les victimes. Les leaders communautaires ont été encouragés à sensibiliser leur entourage sur les droits des femmes, à promouvoir l’égalité des genres et à condamner fermement les actes de violence.
Par ailleurs, Yerelon + a également mis l’accent sur l’importance du plaidoyer auprès des autorités pour une meilleure réactivité face aux dénonciations de VBG. L’association montre par cette activité son engagement à travailler en étroite collaboration avec les leaders communautaires et les associations pour faire entendre la voix des victimes et pour garantir que justice soit rendue.
Yerelon + est une association engagée dans la prise en charge des femmes vulnérables qui subissent des violences basées sur le genre. Elle collabore actuellement avec des partenaires pour la mise en place d’une plateforme de dénonciation des cas de VBG, visant à faciliter la communication des victimes et à accélérer les réponses aux situations de violence.
A la fin de la réunion, Mme Drabo Djénéba née Ouédraogo, présidente de l’association Yerelon +, a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui soutiennent les personnes victimes de VBG et a réaffirmé l’importance de la mobilisation des leaders communautaires et des associations pour combattre ces formes de violence et offrir un soutien adéquat aux survivantes.
La rédaction
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